Cela dit, nous allons commencer l'examen des résolutions telles qu'elles ont été présentées, en commençant par les résolutions L30L30, avec des révisions orales.
La situation des droits de l'homme dans le Territoire palestinien occupé, y compris Jérusalem-Est, et l'obligation de garantir le principe de responsabilité et de justice.
Et j'aimerais me rendre au Pakistan.
Qui fera la présentation.
Monsieur l'Ambassadeur, vous avez la parole.
Président, au nom des États membres de l'OCI.
Le Pakistan présente un projet de résolution intitulé La situation des droits de l'homme dans le territoire palestinien occupé, y compris Jérusalem-Est, et l'obligation de garantir la responsabilité et la justice, tel qu'il figure dans la version révisée oralement de la résolution L.30.
Au cours des six derniers mois, la puissance occupante a écrit un nouveau chapitre horrible de la tragédie que traverse le peuple palestinien il y a 75 ans.
Le projet de résolution a été mis à jour dans le but de répondre aux violations flagrantes des droits de l'homme auxquelles nous sommes confrontés en Palestine occupée, en particulier à Fazastri.
Le texte est le résultat de consultations approfondies et transparentes.
Le Groupe de l'OCI est reconnaissant pour le large soutien et l'engagement qu'il a déployés au cours de ce processus et présente à nouveau cette résolution au titre du point 2 pour le soutien unanime du Conseil à la responsabilité du mépris persistant d'Israël pour le droit international.
Monsieur le Président, le préambule de la résolution exprime la grave inquiétude que suscite l'aggravation de la situation en Palestine occupée, en particulier à Gaza, et la proportion inacceptable de victimes civiles innocentes.
Les paragraphes qui précèdent l'enveloppe reflètent les graves préoccupations de ce conseil face aux crimes de guerre et aux crimes contre l'humanité dans les territoires palestiniens occupés et la détermination de l'IC JS selon laquelle le peuple palestinien sous occupation israélienne est également confronté à un risque plausible de génocide.
Exprimez notre inquiétude commune face au risque évident que représente le transfert d'armes vers Israël, qui contribue à de nouvelles violations du droit international humanitaire et du droit international des droits de l'homme, et facilite la commission de crimes de guerre et de crimes contre l'humanité.
Les châtiments collectifs infligés au peuple palestinien, en particulier à Gaza, comprennent des agressions militaires répétées et un blocus illégal, qui en est à sa 17e année, des bombardements indiscriminés dans des zones densément peuplées, la famine comme méthode de guerre, l'obstruction de l'aide humanitaire et la destruction généralisée et injustifiée de zones résidentielles et d'infrastructures civiles essentielles.
La situation des droits de l'homme en Palestine occupée a toujours été au mieux précaire.
Au cours des derniers mois, il est tombé du précipice.
Le dispositif de la résolution appelle donc à un cessez-le-feu immédiat, à la fin de l'occupation sans délai et à une aide humanitaire urgente et sans entrave.
La résolution condamne toutes les attaques contre des civils et appelle à la libération immédiate de tous les otages et détenus restants.
Tout en mettant en garde contre les opérations militaires dans la ville de Rafah, où la majeure partie de la population déplacée de force de Gaza est réfugiée afin de garantir une véritable responsabilisation, la résolution demande au Secrétaire général et au HCDH de garantir des ressources, une expertise et un soutien logistique adéquats.
L'adoption consensuelle de cette résolution affirmerait l'engagement de la communauté internationale en faveur de la primauté du droit international et enverrait un signal clair indiquant que l'impunité pour les violations graves des droits humains est enfin terminée.
Je vous remercie, Monsieur l'Ambassadeur, d'avoir présenté cette résolution au nom de l'OCI.
J'ai annoncé qu'il y avait 10 autres coauteurs de ces résolutions, des coauteurs supplémentaires pour cette résolution, puis j'ai donné la parole aux délégations qui souhaitaient avoir des observations générales sur ce texte, afin que je voie l'Algérie.
Au cours des six derniers mois, la puissance occupante a écrit un nouveau chapitre dramatique, qui s'ajoute à la tragédie palestinienne qui dure depuis plus de 70 ans en Palestine occupée.
L'infrastructure s'est détériorée au mépris de toutes les valeurs morales, juridiques et humanitaires en raison d'une négligence totale de la part de la communauté internationale, sans parler des nombreuses mesures prises par de nombreux pays.
À savoir, lorsque cette fois encore nous abordons une cause palestinienne, la communauté internationale ou une partie de cette communauté internationale refuse d'assumer ses responsabilités.
Alors que cette même communauté internationale adopte des positions totalement différentes dans d'autres régions du monde.
Et cela va à l'encontre du droit international humanitaire ou du droit international des droits de l'homme ou des valeurs humaines.
Certains partis défendent la politique d'occupation tout en mettant en garde la partie occupante sous prétexte qu'il s'agit d'un état de légitime défense.
Sachant que les enfants, les hommes, les femmes, les enfants et les personnes âgées palestiniens sont soumis à de graves violations des droits de l'homme.
Personne n'est venu aider cette frange précaire de la population.
Le peuple palestinien est victime d'une agression.
Les écoles, les hôpitaux et les centres d'accueil de réfugiés sont frappés par la puissance occupante.
Cela met en danger la crédibilité et l'utilisation de notre Conseil.
L'histoire n'oubliera pas la foire parce que l'histoire n'oubliera pas que le peuple palestinien n'a jamais voulu baisser les bras devant un agresseur qui a violé ses droits.
L'histoire se souviendra de ceux qui ont défendu la justice internationale, comme l'a fait l'Algérie.
L'histoire se souviendra également de ceux qui partagent nos convictions et de ceux qui défendent la dignité, la justice et la paix.
Ceux qui, tout simplement, défendent l'humanité.
L'histoire se souviendra de ceux qui demandent que justice soit faite.
L'histoire n'oubliera pas ceux qui demandent le rétablissement des droits des Palestiniens. C'est pourquoi la résolution L30 appelle chacun à se souvenir, au devoir de mémoire et à rappeler les obligations historiques.
Nous soulignons que la défense des droits des Palestiniens est un impératif moral qui transcende les ethnies et les frontières.
C'est une responsabilité qui incombe à l'humanité tout entière.
Monsieur l'Ambassadeur, merci, Monsieur
Monsieur le Président, l'Afrique du Sud souhaite exprimer sa reconnaissance à l'OCI et à la mission de l'État de Palestine pour avoir déposé la L30, car c'est la toute première fois que ce Conseil se prononce sur l'attaque sans précédent qui se déroule à Gaza.
Notre silence a été vraiment assourdissant, certains faisant preuve de deux poids, deux mesures et d'une hypocrisie à son comble.
En un peu plus de 180 jours, au moins 32 975 Palestiniens ont été tués, dont 14 500 enfants.
Ces chiffres ne donnent toutefois qu'un aperçu des souffrances humaines indicibles qui se produisent sous nos yeux.
Pourtant, alors que le Conseil est resté silencieux, les mécanismes des procédures spéciales qui soutiennent ses travaux n'ont pas été fléchis.
L'Afrique du Sud salue leur engagement indéfectible à faire entendre la voix des victimes malgré les menaces inadmissibles et *****.
En effet, ils ont averti le Conseil dès le 16N que les graves violations commises contre le peuple palestinien indiquaient un génocide en cours de préparation.
Leurs efforts sont intégrés dans les documents présentés par l'Afrique du Sud à la CIJ.
Ils ont éclairé la décision du tribunal concernant le risque plausible de génocide ainsi que ses ordonnances ultérieures, y compris son ordonnance la plus récente qui a été émise le 28 mars en réponse à la détérioration significative de la situation.
Leurs efforts s'inscrivent également dans un certain nombre d'autres interventions en cours, notamment la récente décision du Conseil de sécurité des Nations unies.
L'Afrique du Sud prend au sérieux les actes d'intimidation et de harcèlement dont fait l'objet la Rapporteuse spéciale sur la situation des droits de l'homme dans le territoire palestinien occupé depuis 1967, Mlle Francesca Albanese, et appelle les responsables à mettre fin à leurs actions illégales.
Monsieur le Président, le travail des mécanismes des procédures spéciales sera particulièrement important à l'avenir aux fins de la collecte et de la préservation des preuves.
Cela est essentiel pour garantir la responsabilité et la justice, et c'est précisément ce que cherche à atteindre la L13.
Ce n'est qu'en garantissant la responsabilité et la justice que nous pourrons mettre fin à l'impunité qui a enraciné l'occupation illégale en cours, ainsi que ses politiques d'apartheid, et nous acquitter de notre obligation solennelle en vertu de la Convention sur le génocide, qui nous enjoint de prévenir et de punir les responsables du génocide.
Il demeure donc crucial que nous fassions en sorte qu'Israël respecte et applique les ordres de la CIJ, ainsi que les résolutions du Conseil de sécurité des Nations unies exigeant un cessez-le-feu immédiat et durable, que le L30 contribuera sans aucun doute à garantir.
Nous ne pouvons plus choisir d'appliquer un système parallèle de droit international à Israël, pas plus que nous ne pouvons être complices de la facilitation de ses actions.
Pour que le droit international soit crédible, il doit être appliqué de manière uniforme.
Il doit servir les victimes qu'il est censé protéger, plutôt que ceux qui détiennent le pouvoir et qui le traitent avec mépris.
L'Afrique du Sud appelle donc les membres de ce Conseil à mettre fin à toute sélectivité et à toute politique de deux poids, deux mesures et à adopter la L30 par consensus.
En conséquence, nous voudrions nous faire l'écho de la récente déclaration faite par le satané commissaire à Gaza, qui nous exhorte, à nous, la Cour, à éviter une nouvelle ère de politiques de puissance qui mettrait de côté les normes et les institutions si minutieusement conçues pour les promouvoir.
Nos droits universels et notre humanité fondamentale dépendent de l'inversion d'une telle trajectoire.
Je vous remercie, Monsieur l'Ambassadeur, pour votre commentaire et je donne la parole à Cuba Gracias.
Monsieur le Président, nous sommes reconnaissants à l'État de Palestine et aux membres de l'Organisation de la coopération islamique d'avoir présenté ce projet de résolution, dont la nécessité critique est indéniable.
Les violations des droits de l'homme perpétrées par Israël et les territoires palestiniens occupés avant et après le 7 octobre sont largement documentées dans les rapports des procédures spéciales.
Ainsi, les conseils du Bureau du **** Commissaire aux droits de l'homme et des agences, fonds, programmes et mécanismes similaires des Nations Unies, y compris son Secrétaire général.
Le moment est venu de passer de la rhétorique à l'action. C'est pourquoi Cuba soutient le renforcement du libellé de la résolution et la mise en place de mécanismes de responsabilisation, non seulement pour la puissance occupante, dont les actions constituent un acte de génocide, mais également pour les États complices qui continuent de financer, de vendre et de transférer des armes à Israël et font un usage honteux du droit de veto et du Conseil de sécurité.
En ce qui concerne la crise actuelle, nous soutenons la demande de l'Afrique du Sud devant la Cour internationale de Justice contre Intro concernant les violations par cette dernière de ses obligations en tant qu'État partie à la Convention pour la prévention et la répression du crime de génocide de 1948.
Monsieur le Président, il est urgent de mettre en œuvre les mesures proposées par cette résolution, notamment la levée du blocus illégal de la bande de Gaza, la fin des châtiments collectifs, la fin d'un cessez-le-feu durable et le respect des mesures provisoires de la Cour internationale de Justice.
Ainsi, Monsieur le Président, comme chacun le sait, le soutien de Cuba à la CAUSE palestinienne est inébranlable. C'est pourquoi nous apporterons notre soutien à ce projet de résolution et nous demandons à tous les États membres du Conseil de faire de même.
Monsieur le Président, il ne s'agit pas d'un vote de plus.
C'est un vote pour la justice, pour le respect pour les plus de 33 000 Palestiniens qui ont été assassinés ces derniers mois, en plus des 12 300 garçons et filles.
Ce vote est pour les plus de 300 travailleurs humanitaires et humanitaires assassinés pendant cette période.
Il s'agit d'un vote pour les plus de 140 journalistes morts dans la bande de Gaza.
Président, c'est un vote pour les rêves perdus.
Il s'agit d'un vote visant à mettre fin à l'impunité.
C'est un vote pour la dignité.
Tilkarimala et Lilkowitz, Afghan Shukran, ont déclaré.
À ce jour, nous assistons à une guerre criminelle menée par la puissance occupante contre les Palestiniens innocents de ce peuple frère.
Malgré les mesures prises par le Conseil de sécurité, la puissance occupante ne tient aucun compte de toutes les conventions internationales.
Et chaque jour, nous sommes témoins d'un nombre croissant de meurtres et d'enfants tués au mortier au sein de la population palestinienne.
Nous ne pouvons pas décrire l'ampleur de la tragédie humanitaire : outre ce frère, il n'y a que les habitants de la bande de Gaza.
Les menaces persistent et la situation humanitaire s'est détériorée à tous les niveaux.
C'est ce que révèlent les rapports de toutes les organisations internationales spécialisées.
Monsieur le Président, le Conseil doit se prononcer aujourd'hui sur une tâche historique en adoptant la résolution L 30 pour rendre justice, et nous appelons à l'adoption de cette résolution par consensus.
Les observations générales sur ce texte sont les suivantes : si c'est le cas, nous donnerons la parole au pays qui consent à commencer par Israël.
Madame l'Ambassadrice, vous avez la parole.
Cela fait des années qu'Israël demande au Conseil de condamner le Hamas, de dénoncer son inhumanité et de demander des comptes et que justice soit rendue aux victimes israéliennes du terrorisme.
Pourtant, même après le pire massacre contre le peuple juif depuis l'Holocauste, l'une des attaques terroristes les plus meurtrières et les plus brutales des temps modernes, le Conseil n'y est pas parvenu une fois de plus.
Permettez-moi donc de vous demander combien de morts israéliens seront nécessaires pour condamner 1 200 personnes du Hamas ?
Assassiner ne suffit pas.
Quelles atrocités mériteraient d'être condamnées ?
Les violences, les mutilations et les tortures infligées aux Israéliens n'ont pas suffi.
Combien de victimes doit-il y avoir pour que ce conseil s'attaque au terrorisme palestinien ?
Combien de stocks d'armes ?
Les tunnels des quartiers généraux des terroristes doivent être découverts dans les hôpitaux, les écoles et les installations de l'ONU avant que ce conseil ne prenne l'initiative de dénoncer l'utilisation d'infrastructures civiles par les organisations terroristes palestiniennes.
Selon la résolution dont vous êtes saisis aujourd'hui, Israël n'a pas le droit de protéger sa population, alors que le Hamas a parfaitement le droit de faire du ****** et de torturer des Israéliens innocents.
Israël aurait dû rester les bras croisés le 7 octobre alors que le Hamas déclenchait ses actes barbares.
Le 8 octobre, il aurait dû permettre au Hamas de le faire à nouveau.
Selon cette résolution, les États ne devraient pas vendre d'armes à Israël pour défendre cette population, mais ils peuvent continuer à armer le Hamas en lui fournissant les mêmes armes que celles qui ont été pointées sur la tête de Mid Susna alors qu'elle était agressée sexuellement en captivité par le Hamas.
Selon cette résolution, il existe une sorte d'équivalent déformé entre les otages toujours détenus par le Hamas et les terroristes du Hamas eux-mêmes que Craint il y a un an.
Bibas et les 133 autres otages détenus par le Hamas sont égaux à Manal Mahmoud Muhammad Qassim, une terroriste du Jihad islamique qui a avoué avoir rencontré une femme le 7 octobre.
Président, ce conseil a depuis longtemps abandonné le peuple israélien et a longtemps défendu le Hamas.
Il est devenu un bouclier pour les terroristes.
Elle a fermé les yeux sur tout acte de violence contre des Israéliens et des Juifs.
Je donne la parole aux membres de ce conseil.
Ne succombez pas à ce texte manifestement déformé.
Voter oui, c'est voter pour le Hamas.
Un vote pour ignorer le massacre et la tuerie de mon peuple.
Un vote pour légitimer le terrorisme palestinien et l'incitation à la haine tout en délégitimant la véritable lutte contre l'antisémitisme.
Un vote pour saper le droit d'Israël à se défendre.
Pour avoir assimilé le sort de 134 otages détenus par le Hamas à celui du Hamas lui-même.
Israël continuera à combattre le Hamas.
Nous continuerons à défendre notre peuple et nous ramènerons les 134 otages.
Je vous remercie, Madame l'Ambassadrice, pour votre déclaration.
J'aimerais transmettre la parole à Son Excellence l'Ambassadeur de Palestine.
Je tiens à remercier la mission du Pakistan, le coordinateur et tous les États qui ont parrainé et soutenu le projet de résolution sur les résolutions 2.2 et 2.7 sur la Palestine.
J'aurais une déclaration à lire, mais je voudrais également dire que le fait que vous soyez venu entendre aujourd'hui, vous avez entendu une liste de mensonges qui ont été répétés à maintes reprises.
Nous avons exprimé notre position et nous la répétons.
Les allégations doivent être prouvées.
Ils ne peuvent être prouvés sans une enquête indépendante.
Nous sommes prêts à rendre des comptes à tous ceux qui ont enfreint les lois.
Nous avons entendu les positions des États, y compris des États déplorables, les États qui ont été condamnés par Netanyahou, par exemple.
Il y a eu des tentatives pour imposer de nouvelles lois au monde.
Nous avons constaté les répercussions de ces déclarations sur un certain nombre d'États sous la forme des votes sur cette résolution.
Des appels justes ont été lancés en faveur de la responsabilisation dans le monde entier.
Mais les positions changent quand il s'agit d'Israël.
Comment pouvez-vous justifier à vos enfants un génocide télévisé ?
Télédiffusé et diffusé dans le monde entier.
Ce ne sont pas des combattants du Hamas qui sont tués, mais 9 000 femmes qui ont été tuées alors qu'elles ne sont pas des combattantes.
Les hôpitaux ne sont pas des entrepôts d'armes.
Il n'y a aucune preuve de cela.
Il y a quelques jours, l'hôpital de Shifa a été le théâtre d'attaques qui ont entraîné la mort de médecins et de patients.
Les corps abandonnés sont une honte pour l'ensemble de la communauté internationale.
Vous avez vu l'attaque contre Kitchen International.
Ce ne sont même pas des Palestiniens qui ont été tués.
Parmi les États représentés ici, certains citoyens ont été tués par l'armée israélienne.
Il y a eu des demandes d'enquête, mais il n'y a eu qu'une mascarade.
Vous avez vu la résolution du Conseil de sécurité du 25 mars.
L'ambassadeur des États-Unis a déclaré que la résolution n'était pas contraignante.
Il s'agissait d'une résolution relevant du chapitre 6 qui donne aux États le droit de mettre en œuvre les résolutions du Conseil de sécurité.
Si vous voulez appliquer la loi de la jungle, le terrorisme se répandra et touchera tout le monde.
L'incident mondial de la cuisine n'est que le début.
Il ne me reste que trois minutes et je n'ai pas été en mesure de couvrir toutes les atteintes aux droits humains.
Nous avons été témoins d'une catastrophe humanitaire.
Nous avons besoin que vous vous réveilliez tous et que vous mettiez fin à ce génocide.
Un génocide télévisé en direct dans le monde entier, tuant des milliers de Palestiniens innocents pendant la Seconde Guerre mondiale sur une période de six ans.
Nous n'étions pas responsables, mais nous avons payé le prix de ce qui a été fait pendant la Seconde Guerre mondiale.
Bien que nous soyons innocents, cela doit cesser.
Dans le cas contraire, la situation ne fera que s'aggraver et affectera tous les peuples.
Nous ne vous souhaitons que prospérité.
Il y a un très bon LEP préoccupant.
Je vous remercie, Monsieur l'Ambassadeur.
Le projet de texte a des implications budgétaires.
Je voudrais savoir s'il existe des explications concernant le vote de votre vote avant le vote sur ce projet.
les États-Unis d'Amérique, s'il vous plaît.
Nous sommes tous d'accord pour dire que trop de civils ont été tués dans ce conflit et que chaque mort de civil est une tragédie.
Nous sommes indignés et navrés par la mort de sept travailleurs humanitaires de World Central Kitchen à Gaza lundi, dont un citoyen américain.
De tels incidents ne devraient tout simplement pas se produire.
La protection de toutes les vies civiles est un impératif à la fois moral et stratégique, et Israël n'a pas fait assez pour atténuer les dommages causés aux civils.
Nous continuons d'exprimer notre vive inquiétude face aux pertes en vies humaines sans précédent et à l'absence d'aide humanitaire adéquate, qui ont placé les hommes, les femmes et les enfants de Gaza au bord de la famine généralisée.
L'attaque terroriste brutale du Hamas contre Israël a irrémédiablement détruit de nombreuses vies.
Nous exigeons la libération des otages détenus par le Hamas depuis six mois à compter de demain.
Chaque État, y compris Israël, a l'obligation de se défendre, et Israël a le droit d'empêcher que les événements du 7 octobre ne se reproduisent.
Et la manière dont Israël s'y prend est importante.
Les États-Unis ont exhorté à plusieurs reprises Israël à mettre fin aux opérations militaires contre le Hamas par des opérations humanitaires afin d'éviter des pertes civiles et de garantir que les acteurs humanitaires puissent mener à bien leur mission essentielle dans ce pays.
Cela ne s'est pas produit et, en six mois à peine, plus d'humanitaires ont été tués dans ce conflit que dans n'importe quelle guerre de l'ère moderne.
C'est pourquoi le président Biden a souligné la nécessité d'un cessez-le-feu immédiat entre toutes les parties, ce qui est essentiel pour stabiliser et améliorer la situation humanitaire et protéger les civils innocents.
Nous exhortons le Premier ministre Netanyahou à donner à ses négociateurs les moyens de conclure un accord sans délai, de ramener les otages chez eux et le Hamas d'accepter l'accord sur la table.
En ce qui concerne le projet de résolution L 30 dont nous sommes saisis aujourd'hui, nous sommes profondément préoccupés par ses nombreux éléments problématiques, trop nombreux pour être cités dans leur intégralité.
Par exemple, il n'y a aucune condamnation spécifique du Hamas pour avoir perpétré les horribles attaques du 7 octobre.
Il n'est pas non plus fait référence à la nature terroriste de ces actions.
Bien que nous appréciions l'ajout d'un libellé appelant à la libération immédiate des otages, le texte ne fait malheureusement aucune distinction entre les otages qui ont été brutalement enlevés par une organisation terroriste qui ne respecte pas le droit international, dont on ignore où ils se trouvent et qui, selon des informations crédibles de l'ONU, sont probablement victimes de violences sexuelles répétées, et les détenus dont le sort est réglementé et régi par des procédures légales.
Soyons clairs, ces groupes ne sont pas équivalents.
Enfin, le texte tire un certain nombre de conclusions sur la conduite du conflit qui n'ont pas été suffisamment démontrées.
Les États-Unis sont déterminés à apporter une aide vitale à Gaza, à faire pression pour mettre fin au conflit et à apporter une solution durable, juste et stable à deux États.
Malheureusement, Draught Resolution L30 ne contribue en rien à la réalisation de ces objectifs.
Pour toutes ces raisons, nous regrettons de devoir demander un vote et exhortons les autres États membres à se joindre à nous pour voter contre.
Merci, Madame l'Ambassadrice, pour vos explications et je vous donne la parole.
Mme l'ambassadrice du Chili Mucha Gracias dans votre.
Monsieur le Président, je voudrais parler de la résolution de la situation des droits de l'homme et du territoire palestinien occupé, y compris Jérusalem, et de la nécessité de rendre des comptes et de rendre justice présentée par le Pakistan, représentant l'Organisation de coopération islamique.
Comme le Conseil le sait parfaitement, la situation des droits de l'homme dans les territoires palestiniens occupés, notamment à Gaza, est très grave.
Le monde a été témoin de la souffrance de la population civile, notamment des femmes et des enfants, qui ont été victimes d'attaques aveugles et qui sont exposées à un risque certain de faim et de mort.
Une offensive militaire digne de se poursuivre comme nous l'avons fait dès le premier jour.
Le Chili rejette sans aucune nuance la capture de civils par le Hamas et demande leur libération immédiate et inconditionnelle.
Dans le même temps, nous réaffirmons que la violation des normes fondamentales par une partie du conflit ne justifie en aucun cas que l'autre partie ignore ces règles.
Il s'agit d'une règle fondamentale du droit humanitaire.
C'est dans cette optique que Sheila votera en faveur de cette résolution, comme elle le fait traditionnellement, et réitérera notre appel à Israël pour qu'il mette fin aux pratiques qui violent les droits de l'homme des personnes vivant dans les territoires palestiniens occupés.
Monsieur le Président, cette résolution fait référence à la possible commission d'une série de crimes internationaux et d'autres violations graves du droit humanitaire et des droits de l'homme par Israël.
Dans ce contexte, et compte tenu notamment du fait que, comme son nom l'indique, la résolution vise à garantir la responsabilité et la justice, le Chili considère que les procédures devant les tribunaux internationaux sont particulièrement pertinentes.
C'est pourquoi le Chili s'est soumis à la Cour pénale internationale face à la situation et a exprimé dès le début son soutien et le rôle que la Cour internationale de Justice peut jouer.
Les deux tribunaux seront chargés d'évaluer l'existence de ces crimes et toute responsabilité connexe de toutes les parties au conflit. C'est pourquoi le Chili exhorte vivement Israël à coopérer avec les deux tribunaux.
Merci, Madame l'Ambassadrice, pour vos explications et je vous donne maintenant la parole, Monsieur l'Ambassadeur du Japon.
Président, le Gouvernement japonais a entamé les efforts déployés par l'OCI et la délégation de Palestine pour présenter un projet de résolution à 30 sur la situation des droits de l'homme dans le territoire palestinien occupé, y compris l'ECS et ses allégations visant à garantir la responsabilité et la justice et à répondre à plusieurs.
Commentaires, y compris du Japon.
Nous avons déjà voté en faveur de cette résolution depuis qu'elle a été formulée pour la première fois en l'intégrant à la résolution en 2021.
Le gouvernement japonais est profondément préoccupé par la situation humanitaire actuelle en Palestine.
En particulier à Gaza St.
Compte tenu du nombre croissant de victimes civiles à Gaza, dont de nombreux enfants, femmes et personnes âgées, il est crucial d'améliorer la situation humanitaire le plus rapidement possible.
Le gouvernement du Japon est également sur un pied d'égalité et a condamné les attaques terroristes perpétrées par le Hamas et d'autres acteurs, et n'a cessé d'appeler à la libération immédiate des otages.
Dans le même temps, nous réaffirmons une fois de plus l'importance de la protection des civils et exhortons toutes les parties à agir conformément au droit international, y compris le droit international humanitaire.
Nous exhortons tout particulièrement toutes les parties à agir de bonne foi sur la base de la résolution pertinente du Conseil de sécurité des Nations unies, telle que la résolution 2720.
8, y compris la fourniture d'une assistance humanitaire.
Nous constatons que de nombreux points ont été ajoutés à ce projet de résolution en réponse à la situation actuelle à Gaza.
Bien qu'il soit difficile de garantir pleinement la situation factuelle, cette résolution ne devrait pas prévoir les conséquences juridiques de tels points, y compris la préférence pour une référence à des affaires pendantes devant la CIJ.
Dans le même temps, ce n'est pas que le Japon n'ait pas évalué juridiquement que l'action d'Israël était pleinement conforme au droit international.
Étant donné que le nombre de victimes civiles augmente, il est vrai que la situation actuelle nécessite des explications supplémentaires de la part des parties quant à savoir si leur action militaire en tant que.
L'ensemble est justifié au regard du droit international.
Compte tenu de ces points, le Japon a décidé de s'abstenir lors du vote.
Je vous remercie, Monsieur l'Ambassadeur, pour vos recommandations.
Je donne maintenant la parole à l'Indonésie pour annoncer que l'Indonésie s'est retirée de la liste des coauteurs de cette résolution.
La parole est à vous, Indonésie, Monsieur l'Ambassadeur.
À l'heure où nous parlons, les souffrances extrêmes de nos frères, sœurs et enfants palestiniens n'ont pas de dents.
Leur adversité continue de s'aggraver de jour en jour.
Malgré les nombreux efforts diplomatiques, juridiques et humanitaires déployés par la communauté internationale, notamment au cours des six derniers mois, les actions militaires délibérées, flagrantes et barbares continuent d'être menées par Israël contre les civils de Gaza.
Y compris le personnel médical et l'aide.
Les travailleurs en ce mois sacré du Ramadan, ce mépris total et contraire à l'éthique de la part de la puissance occupante à l'égard de la mise en œuvre de l'ordonnance obligatoire de la Cour internationale de Justice et de la résolution 2728 du Conseil de sécurité des Nations unies récemment adoptée.
Alors que nous approchons de la fin du ramadan dans moins d'une semaine, la puissance occupante ne doit pas exploiter cet élan pour intensifier ses actes de violence contre les Palestiniens.
Nous exigeons un cessez-le-feu immédiat et permanent, exhortons la puissance occupante à respecter le droit international et appelons tous les États à contribuer à prévenir les actes qui constituent un génocide à Gaza, notamment en mettant fin aux transferts d'armes vers Israël.
Président, le Draught Resident L30AS déjà révisé, a été présenté au Conseil comme un impôt équilibré.
Elle condamne tous les actes de violence et le ciblage de tous les civils, tout en exigeant la libération immédiate de tous les otages, détenus et victimes de disparitions forcées.
Les éléments de responsabilisation sont également considérablement améliorés grâce à l'ajout de
Nous appuyons donc fermement l'appel en faveur des ressources supplémentaires nécessaires pour permettre à la Commission d'enquête de s'acquitter pleinement de son mandat.
Compte tenu de l'ampleur sans précédent des atrocités commises dans les territoires palestiniens occupés, la présentation de ce projet de résolution constitue pour nous tous, en tant que membres de la communauté internationale, une occasion de réfléchir, de mesurer et de renouveler notre engagement inébranlable et authentique en faveur des droits de l'homme.
Les droits du peuple palestinien sont également des droits de l'homme, pas moins.
À l'issue de l'examen de ce projet de résolution, nous invitons les membres du Conseil à voter pour.
Enfin, nous voudrions réaffirmer notre ferme solidarité avec le peuple de Palestine et soutenir une reconnaissance plus large de l'État palestinien.
Je vous remercie, Monsieur
Je vous remercie, Monsieur le Président, pour vos explications et je vous donne maintenant la parole, Monsieur l'Ambassadeur de Bulgarie.
Monsieur le Président, au nom de la Bulgarie, je voudrais expliquer notre vote comme suit.
Nous prenons note de la Permettez-moi de commencer par déclarer que nous partageons les préoccupations concernant la détérioration dramatique de la situation humanitaire à Gaza, le nombre croissant de victimes civiles, y compris les travailleurs humanitaires opérant sur le terrain, et le risque d'une nouvelle escalade du conflit qui en résulte.
Nous sommes également profondément préoccupés par l'effet disproportionné des hostilités sur les civils, en particulier les enfants, ainsi que par le risque imminent de famine causé par l'arrivée insuffisante de huit personnes, et reconnaissons que des mesures immédiates doivent être prises pour empêcher tout nouveau déplacement de population et garantir la protection des civils à tout moment.
Dans le même temps, nous nous attendions à voir dans le texte une référence plus explicite et plus précise aux actes déclencheurs qui sont à l'origine de l'escalade actuelle, à savoir le 7 octobre.
Des attaques terroristes sans précédent contre Israël impliquant des ****** civils sans discrimination, y compris des enfants, des femmes et des personnes âgées, des formes impensables d'atrocité et de violence, notamment des violences sexistes, des enlèvements et la prise en otage de civils.
À cet égard, nous réitérons notre condamnation la plus ferme du Hamas et appelons à la libération immédiate de tous les otages pris par cette entité.
Nous sommes déçus que le texte de la résolution n'inclue pas de condamnation plus explicite et plus équivoque de ces attaques odieuses et de leurs auteurs, et qu'il n'appelle pas plus fermement à la libération des otages.
Nous connaissons les efforts déployés par l'OCI et la délégation de l'État observateur de Palestine pour rédiger le texte de la résolution L30.
Nous constatons toutefois que certains éléments du texte continuent d'affecter l'applicabilité de la résolution de manière totalement équilibrée et équitable. Pour ces raisons, nous ne sommes pas en mesure de soutenir ce texte et nous voterons contre.
Nous réaffirmons également le droit de légitime défense d'Israël conformément au droit international et au droit international humanitaire et soulignons que toutes les parties doivent respecter le droit international et la juridiction de la Cour internationale de Justice.
Merci, Monsieur l'Ambassadeur, pour vos explications et nous vous donnons maintenant la parole, Monsieur l'Ambassadeur du Brésil, Shukran a dit Raise.
Président, extrêmement préoccupé par la gravité de la situation des droits de l'homme dans le territoire palestinien occupé.
Depuis le début du conflit actuel, nous avons condamné les attaques terroristes perpétrées par le Hamas.
Nous avons également rejeté la réponse disproportionnée et indiscriminée d'Israël à Gaza, qui a fait un nombre effroyable de morts, principalement des femmes et des enfants, provoquant la faim.
Et la destruction de civils, y compris d'infrastructures sanitaires.
Le Brésil votera en faveur de la résolution à l'examen parce que nous pensons qu'une responsabilité crédible, rapide et complète pour toutes les violations du droit international est fondamentale.
Pour briser ce cycle incessant de violence et d'impunité, toutes les parties doivent respecter le droit international humanitaire et le droit international des droits humains.
Toutes les violations des droits de l'homme doivent cesser.
Nous soutenons le travail des mécanismes spéciaux, y compris la Commission d'enquête, et appelons toutes les parties concernées à coopérer.
Le Brésil soutient également la procédure intentée par l'Afrique du Sud devant la Cour internationale de Justice et souligne l'importance du plein respect des mesures provisoires adoptées par la Cour les 26 janvier et 28 mars afin de protéger et de garantir les droits des Palestiniens en vertu de la Convention pour la prévention et la répression du crime de génocide.
Les mesures provisoires de la Cour sont obligatoires et doivent être mises en œuvre immédiatement pour garantir la fourniture sans entrave de services de base et d'une aide humanitaire aux Palestiniens de Gaza.
Tout en recherchant la justice, la communauté internationale doit trouver des moyens de panser les blessures profondes causées par le conflit et commencer à tracer un nouvel horizon politique vers la paix.
Le Brésil reste attaché à la solution d'un État A2 dans laquelle l'État économiquement viable de Palestine vivrait côte à côte avec Israël dans la paix et la sécurité, avec des frontières mutuellement convenues et internationalement reconnues, qui incluent la bande de Gaza, la Cisjordanie et Jérusalem-Est comme capitale.
Je vous remercie, Monsieur l'Ambassadeur, pour vos explications car vous ne rencontrez pas Paula.
Monsieur l'Ambassadeur de France, je vous donne la parole.
Monsieur l'Ambassadeur de France, merci Monsieur le Président.
Monsieur le Président, le bilan humain, la situation des droits de l'homme et la situation humanitaire à Gaza sont tous catastrophiques et méritent toute l'attention du Conseil.
Nous ne pouvons pas l'avoir.
Nous devons être objectifs.
Nous remercions la délégation palestinienne pour la manière dont elle a mené, dans de terribles circonstances, les discussions et les travaux visant à trouver le plus large accord possible permettant de modifier le texte.
La France a été parmi les premières à écrire à Gaza pour apporter une assistance aux Palestiniens qui en ont cruellement besoin.
Nous continuons d'appeler Israël à autoriser l'acheminement d'une aide massive, y compris l'ouverture du port d'Ashdod, une terre depuis la Jordanie et l'ouverture de tous les points de passage.
Nous continuons et continuerons de nous opposer fermement à toutes les arrestations réellement offensantes à Rafa.
Nous continuerons d'appeler à un cessez-le-feu durable immédiat.
Nous continuerons d'appeler au respect du droit international, et en particulier du droit humanitaire juste par toutes les parties, et à appeler à la protection des travailleurs humanitaires en toutes circonstances.
Nous continuerons d'appeler à la libération de toutes les personnes détenues et à la lutte contre l'impunité.
Nous réaffirmons également les principes de responsabilité, de justice et de responsabilité pour toutes les parties.
Cependant, la France s'abstiendra cette année sur ce texte pour les raisons pour lesquelles j'expliquerai la référence au génocide.
Tout d'abord, un crime dont nous comprenons tous la signification.
Nous pensons qu'il ne peut pas être inclus dans un texte de résolution du Conseil de ce niveau sans cette évaluation, cette qualification étant validée par l'autorité légale appropriée.
La communauté internationale doit toutefois condamner avec la plus grande fermeté les attaques terroristes commises par le Hamas et des groupes terroristes le 7 octobre.
Le traitement réservé aux victimes, allant jusqu'à des violences sexuelles insupportables, doit être dénoncé.
Israël a le droit de se défendre lorsqu'il fait face à des attaques de la part d'un groupe qui met en cause son existence même.
Il s'agit d'un droit qui doit être exercé dans le plein respect du droit militaire international, qui exige que la population civile soit épargnée.
Enfin, les otages qui se trouvent toujours dans la bande de Gaza doivent être libérés immédiatement et sans conditions.
Monsieur le Président, alors que nous faisons face au drame que traverse actuellement le peuple palestinien à Gaza, la France, qui œuvre avec détermination à l'initiative du Conseil de sécurité depuis le début de la crise, est résolument engagée en faveur de la fin du conflit israélo-palestinien.
Et nous réaffirmons que seule la solution d'un État A2, Israël et la Palestine, peut répondre aux besoins de sécurité d'Israël, du peuple israélien et du Palais, ainsi qu'aux espoirs légitimes du peuple palestinien de disposer de son propre État.
Je vous remercie, Monsieur l'Ambassadeur, pour vos explications.
Chine, à toi de prendre la parole.
Le président chinois salue la présentation par le Pakistan d'une résolution d'abandon de 30 pour les États membres de l'UIC.
La bande de Gaza souffre d'une catastrophe humanitaire sans précédent.
Il est impératif d'assurer la mise en œuvre complète et en temps voulu des décisions du Conseil de sécurité.
Donc, résolution sur le cessez-le-feu à Gaza pour parvenir à un cessez-le-feu immédiat.
La question palestinienne existe depuis longtemps.
Plus de 70 ans se sont écoulés.
Des générations de Palestiniens ont perdu leur maison et ont été déplacées.
Le rêve longtemps caressé d'un État palestinien indépendant est toujours hors de portée.
C'est une blessure à la conscience de l'humanité.
La communauté internationale doit rendre justice au peuple palestinien le plus rapidement possible et soutenir la protection des droits de l'homme du peuple palestinien.
La Chine a toujours fermement soutenu la juste cause du peuple palestinien pour le rétablissement de ses droits nationaux légitimes.
Nous soutenons la création d'un État palestinien pleinement souverain et indépendant sur la base des frontières de 1967 avec Jérusalem-Est pour capitale, et nous nous opposons fermement au transfert forcé du peuple palestinien et à l'occupation de la terre palestinienne.
La Chine appelle toutes les parties à appliquer fidèlement la résolution de l'Assemblée générale, du Conseil syrien et du Conseil des droits de l'homme sur les droits du peuple palestinien et exhorte Israël à enquêter et à demander des comptes sur les violations des droits de l'homme du peuple palestinien et à indemniser ses victimes.
Compte tenu de ce qui précède, la Chine votera en faveur du projet de résolution L30 et invitera d'autres membres du Conseil à faire de même.
Merci, Monsieur le Président, pour vos explications et je donne la parole à l'Argentine, Monsieur l'Ambassadeur.
Nous sommes préoccupés et profondément touchés par la durée de la situation humanitaire dans le territoire palestinien occupé, en particulier à Gaza, et nous appelons à un cessez-le-feu immédiat et continu qui permettrait l'arrivée de l'aide humanitaire aux personnes touchées.
Nous appelons les parties au conflit à respecter le droit international des droits de l'homme et le droit international humanitaire, y compris fondamentalement l'obligation de protéger la population civile en cas de conflit armé.
Nous condamnons fermement la mort d'adultes, d'enfants, de travailleurs humanitaires et de journalistes, entre autres.
Cette situation est absolument inadmissible.
Il s'agit d'une véritable tragédie1 devant laquelle nous ne pouvons rester indifférents, car si nous le faisions, nous assisterions collectivement à la complicité internationale par le silence.
D'autre part, l'Argentine rejette également sans équivoque les attaques terroristes perpétrées par le Hamas le 7 octobre contre Israël et les prises d'otages, tout en reconnaissant les droits de légitime défense d'Israël.
Les centaines de vies perdues, les blessés, la douleur de leur famille et de leurs amis face à cette cruauté n'ont aucun sens.
Nous appelons les otages et les mains du Hamas à être libérés sans conditions et à leur apporter dignité et soins médicaux, et nous demandons que le Comité international de la Croix-Rouge soit autorisé à leur rendre visite immédiatement.
Après avoir dit tout cela, M.
Président, nous ne pensons pas à la situation tragique sur le terrain qui a été clairement décrite.
Nous analysons plutôt le texte de la lettre, le contenu d'un projet de résolution L30 sur la situation des droits de l'homme dans les postes occupés et le territoire inclus à Jérusalem-Est, sur la nécessité de garantir la responsabilité et la justice, présenté au cours de cette session.
C'est pourquoi nous pensons que le texte en lui-même n'est pas équilibré, principalement en raison de l'absence de mention explicite du Hamas et de ses activités terroristes, qui n'ont ni commencé ni pris fin avec les atrocités du 7 octobre.
Il s'agit d'un oubli que nous ne pouvons ignorer. C'est pourquoi nous voterons contre le projet de résolution et nous exhortons les autres délégations à faire de même.
L'Argentine réaffirme que la seule solution véritable et durable au conflit passe par l'émergence d'un territoire palestinien indépendant, démocratique, viable et contigu sur le plan didactique, qui garantirait le droit d'Israël à vivre en paix à l'intérieur de frontières sûres et internationalement reconnues.
Nous pensons que l'ONU dans son ensemble doit maximiser ses efforts et exhorter les parties à aller dans cette direction, notamment parce que l'ONU dispose des organes et des mécanismes nécessaires pour examiner la gestion de la Palestine et nous nous sommes engagés en faveur d'une paix durable entre la Palestine et Israël.
C'est à nous d'accepter l'amendement politique pour le faire sans excuses ni délais.
Alors je n'avais pas l'Allemagne.
Madame l'Ambassadrice, vous avez la parole.
Monsieur le Président, nous partageons le sentiment d'urgence concernant la situation à Gaza qu'exprime la résolution dont nous sommes saisis.
Nous sommes profondément préoccupés par la situation catastrophique à Gaza et déplorons les souffrances de civils innocents.
C'est pourquoi l'Allemagne travaille sans relâche à l'amélioration de la situation humanitaire et à la recherche d'une solution diplomatique.
Nous estimons que les actions menées par Israël dans l'exercice de ses droits de défense contre les attaques à l'arme par le groupe terroriste Hamas doivent respecter le droit international humanitaire et le droit relatif aux droits de l'homme.
Nous appelons Israël à respecter les mesures provisoires que la Cour internationale de Justice a ordonnées les 26 janvier et 28 mars 2024.
Israël a l'obligation de minimiser l'impact des hostilités sur les civils, y compris à Rafah, et de permettre une aide humanitaire suffisante pour atteindre les personnes dans le besoin.
C'est pourquoi nous avons participé activement aux consultations sur cette résolution.
En collaboration avec l'Union européenne.
Nous reconnaissons la volonté de la délégation palestinienne d'apporter un certain nombre d'améliorations au texte.
Cependant, la résolution s'abstient de mentionner le Hamas et refuse à Israël l'exercice de son droit de légitime défense conformément à l'article 51 de la Charte des Nations unies.
L'avis consultatif de 2004 de l'IC JS mentionné dans la résolution fait référence à la situation en Cisjordanie et n'est pas applicable à la situation du 7 octobre 2023.
En outre, la résolution insinue qu'Israël pratique l'apartheid et accuse Israël de châtiment collectif, de ciblage délibéré de la population civile palestinienne et d'application de la famine comme méthode de guerre.
Nous pensons que de telles allégations nécessitent une enquête, mais le résultat de telles enquêtes ne doit pas être préjugé dans une résolution de ce Conseil.
Nous voterons donc contre cette résolution.
Je vous remercie, Madame l'Ambassadrice, pour vos explications.
Je n'ai aucune autre demande d'explication de vote avant le vote.
Si je n'en vois aucun, à la demande de la délégation des États-Unis, je demande que ce texte soit mis aux voix et je demande au Secrétariat d'ouvrir la machine pour permettre aux délégations d'exprimer leur vote.
Le vote est clos, puis la résolution L30 est adoptée par le Conseil par 28.
Oui, 13 s'il vous plaît, s'il vous plaît, je demande simplement de me permettre d'annoncer le résultat du Conseil si vous le souhaitez, s'il vous plaît.
Le résultat est donc le suivant.
Oui, 28, 13 abstentions et maintenant 6.
La résolution est ensuite adoptée par le Conseil.
Je demande maintenant aux délégations de bien vouloir obtenir des explications de vote après le vote sur les deux résolutions adoptées au titre du point 2 de l'ordre du jour.
Algérie, vous avez la parole.
Ma délégation tient à remercier les principaux auteurs de cette résolution.
Nous les remercions pour les consultations qui ont eu lieu.
Nous pensons que la dignité humaine est au cœur de tous les droits de l'homme.
Nous exprimons notre condamnation pour toute manifestation de violations des droits de l'homme et des libertés fondamentales partout dans le monde.
Chacun a le droit d'exercer ses droits humains sans aucune discrimination.
Nous sommes pleinement conscients de la nécessité de prendre en compte la situation des droits de l'homme au Soudan du Sud.
Nous avons voté contre la résolution car elle pourrait avoir des effets contraires à ceux escomptés et ne pas améliorer les droits de l'homme au Soudan du Sud.
Par conséquent, il est important d'avoir un dialogue constructif avec le.
Pays concerné afin de traiter de la question des droits de l'homme dans le pays, nous constatons également que le.
Décision prise au titre du point 10 concernant le Soudan du Sud, qui bénéficie du soutien du pays concerné.
Nous saluons l'Initiative africaine visant à participer à la réalisation d'une paix durable, notamment par le biais de l'assistance technique et du renforcement des capacités.
Nous exprimons également notre inquiétude face à la polarisation et à la politisation croissantes au sein de ce Conseil.
Nous refusons toute pratique qui pourrait détourner le Conseil de sa raison d'être, à savoir la protection et la promotion des droits de l'homme.
Lorsque nous examinons la situation des droits de l'homme, nous devons le faire de manière universelle et objective, dans un domaine indivisible, loin de toute politique de deux poids deux mesures ou de toute sélectivité.
Nous regrettons que certains États appliquent deux poids, deux mesures en ce qui concerne les territoires palestiniens occupés.
Cela reflète une absence de crédibilité lorsqu'il est question des droits de l'homme au sein du Conseil.
Comment ce Conseil peut-il ne pas prendre de véritables mesures dans le cadre de son mandat, qui est au cœur de son mandat, qui est de préserver le droit à la vie, à la sécurité, de prévenir les groupes vulnérables contre les crimes de guerre et les crimes de génocide perpétrés par l'occupation israélienne à Gaza et dans les autres territoires palestiniens occupés ?
Et au cours des six derniers mois, nous avons compté plus de 30 000 martyrs.
Merci à vous, Monsieur l'Ambassadeur des Pays-Bas.
Le Royaume des Pays-Bas est consterné par les immenses souffrances des civils en raison de la crise humanitaire à Gaza.
Nous condamnons les attaques terroristes du 7 octobre aux Bahamas et l'escalade de la violence.
Par conséquent, il est crucial qu'un cessez-le-feu immédiat soit mis en œuvre conformément aux résolutions 2728 et 2720 du Conseil de sécurité des Nations unies afin de mettre fin aux souffrances et de libérer tous les otages.
Le Royaume des Pays-Bas soutient fermement la nécessité d'une augmentation massive de l'aide humanitaire et la nécessité de rendre des comptes et de rendre justice pour les violations du droit international, conformément à plusieurs éléments de cette résolution.
La lettre s'adresse à toutes les parties à ce conflit.
Cependant, nous ne sommes pas d'accord avec plusieurs éléments de cette résolution, notamment le libellé qui empêche les enquêtes judiciaires en cours sur de prétendues violations courageuses du droit international humanitaire.
Les Pays-Bas émettent également de sérieuses réserves en ce qui concerne les références au droit de légitime défense et au transfert de matériel militaire.
Les Pays-Bas évaluent le transfert de matériel militaire avec une prudence et une vigilance particulières au cas par cas, conformément à nos obligations en vertu du traité sur le commerce des armes et du Conseil de l'UE.
Mise en œuvre de la position commune sur les experts en technologies et équipements militaires.
Monsieur le Président, que le Royaume des Pays-Bas trouve dans cette résolution des éléments avec lesquels il est d'accord et des éléments avec lesquels il n'est pas d'accord.
Le Royaume des Pays-Bas a décidé de s'abstenir sur cette résolution.
Je vous remercie, Monsieur l'Ambassadeur, pour vos explications.
Et je te donne la parole.
Monsieur l'Ambassadeur du Paraguay.
Monsieur le Président, à propos de la Résolution L30 récemment approuvée, il aurait été préférable de l'approuver par consensus, et le consensus n'est possible que lorsque la proposition inclut ou prend en compte toutes les facettes de la situation qu'elle aborde avec le juste équilibre.
Cela n'a pas été le cas, étant donné que la résolution ne mentionne pas les attaques terroristes du 7 octobre et parle simplement de la prise d'otages, selon l'opinion du Paraguay, elle ne prend pas en compte la situation dans son ensemble, ce qui a amené notre pays à voter contre un consensus qui conduirait à une paix durable lorsque ce conseil parviendra à examiner tous ces éléments simultanément.
Votre explication, ambassadeur, ambassadeur du Luxembourg.
Monsieur le Président, le Luxembourg salue tous les efforts déployés par la délégation de l'État observateur de Palestine et de l'OCI pour préparer la résolution L30.
Ma délégation a voté en faveur de cette résolution, compte tenu de l'extrême nécessité de cette résolution et de la situation sur le terrain.
Ma délégation rappelle que le Conseil européen, au niveau des chefs d'État et de gouvernement, a rejeté de la manière la plus ferme les atrocités criminelles perpétrées par le Hamas et d'autres groupes armés le 7 octobre dernier.
Nous reconnaissons également la responsabilité d'Israël de protéger sa population, ainsi que son droit à se défendre conformément au droit international et au droit international humanitaire, c'est pourquoi nous voudrions nous dissocier de la déclaration du PO 13.
En outre, on ne comprend pas pourquoi un État devrait livrer des armes, des munitions ou d'autres matériels militaires à Israël, alors qu'il continuera de le faire pour le Hamas.
Nous restons profondément préoccupés par la situation humanitaire désastreuse à Gaza et ses effets prétendument disproportionnés sur les civils, en particulier les enfants, ainsi que par le risque imminent de famine dû à l'obstruction de l'aide humanitaire de manière rapide, sûre et sans entrave.
L'aide humanitaire dans toutes les régions de Gaza et par tous les itinéraires, principalement terrestres, est essentielle.
Nous appelons également le gouvernement d'Israël à ne pas lancer d'offensive terrestre militaire à Rafah.
Enfin, nous espérons que le Conseil sera en mesure de jouer son rôle dans le domaine de la prévention, mais également dans la promotion et la protection des droits de l'homme en toutes circonstances.
L'extrême urgence de la situation à Gaza, mais également en Cisjordanie et à Jérusalem-Est, exige que nous agissions.
Merci pour votre déclaration, Monsieur l'Ambassadeur.
Monsieur le Président, la Finlande remercie la Mission de Palestine pour son engagement constructif en faveur de la résolution L30 sur l'obligation de garantir la responsabilité et la justice dans le territoire palestinien occupé, y compris Jérusalem-Est.
Nous avons voté en faveur de cette résolution.
La Finlande exhorte Israël à respecter l'ensemble du droit international humanitaire et les ordonnances juridiquement contraignantes émises par la Cour internationale de Justice, y compris l'ordonnance rendue le 28 mars, compte tenu de la détérioration des conditions de vie des Palestiniens à Gaza, en particulier de la propagation de la famine.
En ce qui concerne le paragraphe 19 de la résolution, la Finlande note que l'applicabilité de l'article 59 de la Charte des Nations Unies n'est pas du ressort du Conseil des droits de l'homme.
À cet égard, nous rappelons l'avis consultatif de la CIJ sur les conséquences juridiques de la construction du mur dans le territoire palestinien occupé, dans lequel la Cour a conclu que l'Article 51 de la Charte n'était pas pertinent.
Dans ce cas, la Finlande s'engage pleinement à respecter et à faire respecter le droit international humanitaire et à remplir les obligations découlant du Traité sur le commerce des armes réglementant le commerce international des armes classiques, ainsi que de l'Arrangement de Basenar établi pour promouvoir la transparence et une plus grande responsabilité dans les transferts d'armes classiques et de biens et technologies à double usage.
Je vous remercie, Madame l'Ambassadrice, pour vos explications.
Je vous donne également la parole, Monsieur l'Ambassadeur du Ghana.
Monsieur le Président, le Ghana s'est abstenu lors du vote sur la résolution sur la promotion des droits de l'homme au Soudan du Sud parce que nous pensons qu'un engagement continu entre ce Conseil et les autorités sud-soudanaises est nécessaire pour promouvoir les droits de l'homme au Soudan du Sud.
Nous prenons note des préoccupations des autorités sud-soudanaises et pensons que ces préoccupations et l'importance de respecter les principes, les modalités et les mécanismes des systèmes des droits de l'homme ne s'excluent pas mutuellement.
Nous pensons que la recherche d'un accord sur les recommandations relatives à la mise en place d'institutions chargées de missions d'enquête constitue un pilier central de l'architecture des droits de l'homme et la condition nécessaire pour préserver l'utilité, la pertinence et la valeur du Conseil des droits de l'homme.
Nous félicitons néanmoins le titulaire du PEN et les membres du groupe principal pour leur dur labeur et leur volonté de repousser les limites d'un engagement constructif avec tous les membres du Conseil et avec le Soudan du Sud en particulier.
Nous pensons que cette approche positive a largement contribué à réduire l'ampleur des désaccords et fournira les conditions nécessaires à un engagement accru avec les dirigeants du Soudan du Sud dans la transition du pays à travers la phase délicate actuelle de la mise en œuvre de l'Accord de paix revitalisé.
Monsieur le Président, comme d'autres, le Ghana reconnaît également qu'il reste encore beaucoup à faire pour améliorer les moyens de subsistance de la population sud-soudanaise ainsi que son accès à la justice.
Il faut prêter attention aux victimes de ***** et de traitements injustes, en particulier ceux liés à la violence sexuelle.
Nous encourageons donc les autorités sud-soudanaises à rester engagées dans la mise en place des institutions publiques pertinentes dont le travail et les mandats restent essentiels pour réaliser les aspirations du peuple sud-soudanais.
Enfin, la communauté internationale ne peut se permettre de continuer à diviser et à polariser la situation sécuritaire et humanitaire qui prévaut dans certaines régions du Soudan du Sud, où les violences intercommunautaires sont monnaie courante et où l'impunité reste impunie.
Le Ghana a donc des bords unifiés et une approche consensuelle sur les questions concernant le Soudan du Sud.
Je vous remercie, a examiné concrètement M. l'ambassadrice Avexula Zavon.
Nous avons ainsi terminé l'examen des points au titre du point 2 de l'ordre du jour et nous allons maintenant poursuivre l'examen des résolutions restantes au titre du point 3.
Nous allons maintenant examiner la Résolution L 18, Rev 1, Droits de l'enfant, Réaliser les droits de l'enfant et.