OHCHR Press conference: Committee on the Elimination of Racial Discrimination (CERD) - 23 August 2024
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Conférence de presse du HCDH : Comité pour l'élimination de la discrimination raciale (CERD) - 23 août 2024

Le Comité des Nations Unies pour l'élimination de la discrimination raciale (CERD) présentera ses conclusions sur la Biélorussie, la Bosnie-Herzégovine, l'Iran, l'Irak, le Pakistan, le Royaume-Uni et le Venezuela

 

Orateurs :  

  • Michal Balcerzak, Président du Comité
  • Régine Esseneme, Vice-Présidente du Comité
  • Gün Kut, Membre du Comité
  • Bakari Sidiki Diaby, Membre du Comité
  • Yeung Sik Yuen Yeung Kam John, Membre du Comité

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Bonjour à tous.
Bienvenue à la conférence de presse organisée par le Comité des Nations Unies pour l'élimination de la discrimination raciale.
La communauté présentera aujourd'hui ses conclusions concernant des pays desservis tels que la Biélorussie, la Bosnie-Herzégovine, l'Iran, l'Irak, le Pakistan, le Royaume-Uni et le Venezuela.
Nous accueillons aujourd'hui sur le podium M. Belsasak, président de la commission, et Mme SNM, vice-présidente, ainsi que deux membres de la commission, M. DRB et M. Koot.
Et parmi nous aujourd'hui également, M. Yun est également dans la salle.
Ils nous présenteront d'abord leurs recommandations et leurs conclusions, puis ils seront heureux de répondre à vos questions.
Je vais donc sans plus tarder passer la parole aux experts.
M. Chan, la parole est à vous.
Merci beaucoup, Vivian.
Bonjour
Je m'appelle Mihal Baltazhak.
Je suis présidente du Comité des Nations Unies pour l'élimination de la discrimination raciale.
Mes collègues présents à la tribune et dans le public ont déjà été présentés, mais permettez-moi de le répéter brièvement.
Bienvenue
Nous avons Mlle Regina Sanam, vice-présidente de la commission, M. Bakari Siddiqi Diabi, membre de la commission et également rapporteur de la commission chargée des représailles.
Je souhaite la bienvenue à M. Gunkut, membre de la commission et président de l'ancienne commission de conciliation ad hoc concernant la communication interétatique entre la Palestine et Israël.
Je souhaite également la bienvenue à M. Yongsig Yuen, membre de la commission et rapporteur pour le Pakistan.
Le comité terminera aujourd'hui sa 113e session, qui a été très chargée.
Nous avons examiné 7 rapports nationaux.
Nous avons mené des dialogues avec les États parties et les délégations, mais nous avons également adopté la recommandation générale #37 sur la discrimination raciale dans l'exercice du droit à la santé.
C'est le résultat de plusieurs années de discussions intensives et de préparatifs, et je suis heureuse de dire qu'elle a été adoptée.
Au cours de cette session également, le Comité a publié le rapport de la Commission de conciliation ad hoc dans la procédure interétatique, État de Palestine contre Israël, qui trouve son origine dans la communication de 2018 de l'État de Palestine au Comité en vertu de l'article 11 de la Convention.
Ce matin, nous présenterons les résultats, un résumé des conclusions concernant l'État, les états que nous avons examinés au cours de la session.
Je présenterai les résultats concernant l'Iran, la Bosnie-Herzégovine et le Pakistan.
M. Diaby présentera les résultats concernant le Venezuela.
Il a été rapporteur national pour ce pays.
M. Kutt présentera ensuite les résultats concernant le Royaume-Uni et l'Irak.
M. Kutt a été rapporteur pour l'Irak.
Je suis désolée pour le Royaume-Uni.
Oui, bien sûr.
Et Mme Assanima présentera les résultats concernant le Belarus et elle a été rapporteure nationale pour le Belarus.
Ensuite, nos présentations seront suivies de questions et réponses.
Encore une fois, bienvenue à la conférence de presse.
Et nous, je pense que nous pouvons passer aux présentations.
En ce qui concerne les conclusions relatives à l'Iran, le Comité s'est dit vivement préoccupé par les informations faisant état de graves violations des droits de l'homme commises par des agents des forces de l'ordre contre des manifestants appartenant à des minorités ethniques et ethno-religieuses lors des manifestations de novembre 2019, juillet 2021 et septembre 2022, en particulier dans les provinces principalement habitées par ces groupes minoritaires.
Elle a exhorté l'Iran à prendre immédiatement contact avec des enquêteurs impartiaux sur les allégations de violations et d'atteintes aux droits humains commises par des acteurs étatiques lors de ces manifestations et à accorder des réparations aux victimes.
La commission s'est également dite préoccupée par les informations selon lesquelles les minorités ethniques et ethno-religieuses sont surreprésentées dans le système de justice pénale et sont soumises de manière disproportionnée à des détentions arbitraires et à des condamnations à mort pour des infractions définies au sens large du Code pénal islamique, ainsi que pour des infractions liées à la drogue.
Elle a appelé l'Iran à revoir son cadre juridique, à abroger les infractions pénales formulées en termes vagues passibles de la peine de mort, à garantir la sécurité et la régularité des procédures pour les groupes minoritaires, et à établir un moratoire sur la peine de mort dans le but de l'abolir.
En ce qui concerne le résumé des conclusions concernant le Pakistan, la commission a mis en lumière la recrudescence des incidents au Pendjab et à Kiber Paktungwa entre mai et juin 2024.
Le Comité a également fait part de sa préoccupation face aux accusations de blasphème et aux lynchages collectifs qui ont suivi et à la destruction de lieux de culte, visant en particulier les minorités ethniques et ethno-religieuses.
Le Comité a mis en doute l'impunité de ces crimes, citant peu d'arrestations et de condamnations.
Le Comité a insisté sur le droit à un procès équitable des personnes accusées de blasphème, en faisant part de ses préoccupations concernant le traitement des suspects, notamment les décès en garde à vue et la prolongation des procédures judiciaires.
Elle a exhorté le Pakistan à prévenir et à protéger les individus et les communautés contre les représailles violentes, à abroger ses lois sur le blasphème, à garantir la tenue de procès et à poursuivre tous les actes de violence.
Le comité a été alarmé par l'exode massif dans le cadre du plan de rapatriement des étrangers illégaux, qui a vu 700 000 personnes, dont 101 000 entre avril et juin 2024, expulsées ou renvoyées en Afghanistan.
La commission a mis en lumière les informations faisant état de harcèlement, d'expulsions forcées et de détention de 2 800 cinq 28 500 Afghans entre septembre et décembre 2023, qui ont poussé de nombreuses personnes à rentrer en Afghanistan par peur.
Le Comité a exhorté le Pakistan à procéder à des évaluations individuelles des risques liés à la réforme et à atténuer les risques auxquels sont confrontés les groupes vulnérables, notamment les risques de traite et d'exploitation d'enfants non accompagnés.
Le Comité a regretté l'absence de cadre législatif et institutionnel conforme au droit international et a recommandé la ratification de la Convention de 1951 sur les réfugiés et de son Protocole facultatif de 1967.
Maintenant, en ce qui concerne les conclusions concernant la Bosnie-Herzégovine.
Le Comité demeurait préoccupé par la discrimination et la marginalisation persistantes des Roms, qui les empêchaient de jouir pleinement des droits consacrés par la Convention.
Parmi les principaux problèmes figurent les mauvaises conditions de vie, l'accès limité aux services publics et à l'emploi formel, en particulier pour les femmes roms, les soins de santé inadéquats et les faibles taux de scolarisation et de fréquentation scolaire des enfants roms.
Le Comité a exhorté l'État partie à redoubler d'efforts pour lutter contre la discrimination raciale systémique à l'encontre des Roms.
Il a recommandé d'améliorer les conditions de logement et de vie des Roms grâce à de véritables consultations, de garantir l'accès à l'emploi et à la formation professionnelle, de lutter contre la discrimination sur le lieu de travail et d'augmenter le taux de scolarisation et de fréquentation scolaire des enfants roms.
En outre, le Comité a préconisé la mise en place de services de santé accessibles et culturellement adaptés, en particulier pour les femmes et les filles roms.
Le Comité demeurait préoccupé par le fait que les rapatriés continuaient de faire l'objet d'une discrimination généralisée et d'une ségrégation de fait, qui entravaient leur pleine réintégration dans leur lieu d'origine.
Malgré certains progrès en matière d'accès à un logement convenable, les rapatriés rencontrent toujours des difficultés pour accéder à l'éducation, à l'emploi, aux soins de santé et à la protection sociale, et continuent de faire face à des discours de haine et à des violences physiques.
Le Comité a appelé l'État partie à garantir un retour et une réintégration sûrs et durables des rapatriés, à adopter des mesures pour lutter contre la discrimination, à améliorer l'accès aux services essentiels, à enquêter sur tous les incidents de discours de haine et de violence et à engager des poursuites, et à accorder réparation aux victimes.
C'était le résumé des conclusions concernant la Bosnie-Herzégovine, et je voudrais maintenant demander à mon collègue, M. Diaby, de présenter les conclusions concernant le Venezuela.
Merci, Monsieur le Président.
Le Comité était très préoccupé par l'impact négatif de l'exploitation minière, des terres autochtones et des moyens de subsistance des populations autochtones.
Il met en lumière la situation entre la zone de développement stratégique nationale où les territoires autochtones étaient l'objet d'opérations militaires et militaires menées sans consultation préalable ainsi que les violations des droits de l'homme ***** et les violations commises contre les populations autochtones par des acteurs liés à des entités étatiques, notamment des membres des Forces armées nationales et des groupes armés non étatiques.
Le Comité a exhorté le Venezuela à s'abstenir de déployer des forces militaires et de mener des opérations militaires sur les territoires autochtones sans consulter au préalable les populations autochtones concernées et à mettre en place un mécanisme de responsabilisation efficace pour d'éventuelles violations des droits de l'homme si le recours à la force militaire est strictement essentiel.
Il a également demandé à l'État partie d'enquêter sur toutes les allégations de ***** et de violences commises par les forces militaires contre des groupes armés non étatiques contre des populations autochtones, en particulier des femmes autochtones.
Le Comité est saisi des décisions relatives à des allégations d'actes de violence, de commerce et de tentatives d'assassinat contre des défenseurs des droits humains, y compris des dirigeants et des défenseurs des droits des peuples autochtones afro et afrodison.
Elle a appelé le Venezuela à poursuivre immédiatement ces défenseurs des droits humains, à empêcher tout acte de violence, toute menace et toute atteinte à leur vie et à leur intégrité physique et à enquêter sur toutes les allégations de violence, d'intimidation et de diffamation à leur encontre.
Merci.
Merci.
Puis-je maintenant demander à M. Gunkut de présenter le résumé des conclusions concernant le Royaume-Uni et l'Irak ?
Oui, merci, Monsieur le Président.
Les observations finales du Comité concernant le Royaume-Uni contiennent les principales préoccupations et recommandations, ainsi que des aspects positifs de la mise en œuvre de la Convention internationale sur l'élimination de toutes les formes de discrimination raciale.
Parmi les préoccupations, si vous êtes soulignées ici, le Comité s'est dit préoccupé par la persistance de crimes motivés par la haine, de discours de haine et d'incidents xénophobes sur diverses plateformes et par des politiciens et des personnalités publiques.
Il est particulièrement préoccupé par les actes racistes et les violences récurrents commis contre des minorités ethniques et ethno-religieuses, des migrants, des réfugiés et des demandeurs d'asile par des individus et des groupes extrémistes, d'extrême droite et suprémacistes blancs, notamment les actes de violence commis fin juillet et début août 2024.
En appelant à l'action, le Comité a exhorté le Royaume-Uni à mettre en œuvre des mesures globales pour lutter contre les discours de haine racistes et les discours xénophobes, y compris de la part de personnalités politiques et publiques.
La commission a souligné la nécessité de mener des enquêtes approfondies et de sanctionner sévèrement les crimes motivés par la haine raciste, ainsi que des voies de recours efficaces pour les victimes et leurs familles.
Le comité s'est également déclaré préoccupé par l'impact disproportionné des pratiques d'interpellation et de fouille de la police, y compris les fouilles à nu, sur les minorités ethniques, en particulier les enfants.
Elle a également suscité des inquiétudes quant à l'usage excessif et meurtrier de la force par les forces de l'ordre.
L'absence de responsabilisation et le soutien inadéquat aux familles des victimes, qui touchent tous de manière disproportionnée les personnes d'ascendance africaine et les autres minorités ethniques.
Elle a également mis en lumière les préoccupations concernant le racisme institutionnel au sein de la police et du système de justice pénale.
Le comité a exhorté l'État partie à mettre en place un mécanisme de plainte indépendant chargé d'enquêter sur les allégations de profilage racial, de pratiques d'interpellation et de fouille, de fouilles à nu et de recours excessif à la force par la police.
Elle a demandé que les auteurs soient poursuivis et punis et a souligné la nécessité pour les victimes et leurs familles d'accéder à des voies de recours efficaces.
En outre, il est recommandé de prendre des mesures décisives pour éliminer la discrimination raciale au sein de la police et du système de justice pénale, y compris sa dimension institutionnelle.
En ce qui concerne l'Iraq, les observations finales soulevaient un certain nombre de préoccupations. Parmi celles-ci, le Comité était préoccupé par des informations et par le fait que la décision de fermer tous les camps de personnes déplacées à l'intérieur de leur propre pays d'ici la fin de 2024 pourrait entraîner le retour forcé et involontaire des pièces d'identité des groupes minoritaires ethniques et ethno-religieux.
Mettant en garde contre le fait que nombre de ces personnes devraient retourner dans des zones gravement endommagées par le conflit armé et dotées d'infrastructures inadéquates, le Comité a exhorté l'Iraq à faire en sorte que les retours ou les réinstallations soient sûrs et véritablement volontaires.
Elle a également recommandé des efforts visant à intégrer les services d'identification et de protection sociale, à reconstruire leurs communautés et à rétablir les services essentiels, tout en luttant contre la stigmatisation et en garantissant l'égalité d'accès à l'éducation, aux soins de santé, à l'emploi et au logement, conformément à la Convention.
Le Comité s'est également déclaré préoccupé par les retards dans l'octroi de réparations aux victimes, en particulier aux femmes, qui ont subi de graves violations des droits de l'homme, et a souligné l'absence de cadre législatif permettant de poursuivre les auteurs de crimes de guerre, de crimes contre l'humanité ou de génocide.
Le Comité a exhorté l'État partie à prendre rapidement des mesures pour soutenir et indemniser de manière adéquate les femmes survivantes, notamment en accélérant la vérification des demandes en instance au titre de la loi sur les survivantes yézidies et en veillant à ce que la procédure ne les traumatise pas à nouveau.
Elle a également appelé à l'adoption rapide d'un projet de loi par le Conseil des représentants visant à criminaliser le génocide, les crimes de guerre et les crimes contre l'humanité et à permettre aux tribunaux nationaux de poursuivre ces crimes.
Merci.
Merci beaucoup, M. Hoot.
Je voudrais à présent inviter le vice-président du Comité, M. Sinema, à présenter le résumé des conclusions concernant Bellars.
Merci, Monsieur le Président, de m'avoir donné la parole.
En ce qui concerne le Bélarus, le Comité souligne qu'il est préoccupé par les conditions mettant en danger la vie des migrants, des demandeurs d'asile et des réfugiés à la frontière bélarussienne avec l'Union européenne.
Citant des informations faisant état d'un usage excessif de la force, de détentions arbitraires et de difficultés d'accès aux procédures d'asile, le Comité a exhorté le Bélarus à prendre des mesures immédiates pour protéger la vie et la sécurité des personnes à la frontière.
Prévenir l'usage excessif de la force et dispenser une formation aux droits de l'homme aux gardes-frontières et aux responsables de l'application des lois.
Elle a également appelé à la poursuite de la coopération avec les organisations internationales et les autres parties prenantes afin de renforcer la protection des droits de l'homme et de garantir que les procédures d'asile répondent aux normes internationales.
Le Comité était préoccupé par les informations selon lesquelles les membres des minorités nationales et autres étaient confrontés à des restrictions administratives et d'ordre à la liberté d'association et à l'exercice de leur droit à l'éducation, à la religion, à la langue et à la culture, entraînant la dissolution d'associations minoritaires, la fermeture d'écoles appartenant à des minorités et l'annulation de manifestations culturelles.
Le Comité a exhorté le Bélarus à appliquer effectivement la loi sur les minorités nationales afin de garantir que les membres des minorités nationales et autres jouissent pleinement de la liberté d'association, de l'enseignement dans les langues des minorités nationales, y compris la culture polonaise et lituanienne, ainsi que de la liberté et de la manifestation de leur religion.
Merci.
Merci beaucoup, Monsieur Seneman, et nous pouvons maintenant passer aux questions et réponses.
Permettez-moi de rappeler que nous avons 5 membres du Comité ici.
Nous étions également tous des rapporteurs par pays. Nous aimerions donc vous poser des questions sur les observations finales concernant les dialogues qui concernent ces États, mais également sur d'autres activités de notre commission, si vous avez de telles questions.
Puis-je demander à Vivian de modérer cette partie ?
Oui, merci, Monsieur le Président, ouvrons la parole.
Oui, pour la chambre.
Isabel de l'Efe, vous avez la première question.
Merci.
Bonjour, bonjour, membres du comité.
Merci pour ce briefing.
J'aimerais que le pays qui m'intéresse ce matin soit le Venezuela et j'aimerais avoir trois questions.
Je ne sais pas si tu veux que je les mette dans une rangée ou un par un.
Eh bien, si je peux me permettre, seriez-vous en mesure de poser des questions en français ou oui ?
De l'armée vénézuélienne.
OK, non.
Pour le Venezuela, je vais vous demander votre consentement avec le territoire le violet, le médecin, la Musevika, la militarisation, le risque ne pas que l'intégrité physique de cette partie soit une population non voir odra La Vista une certaine personne excessive de lafox préparée la vie continue sur le.
Emplacement du CV Sécurité excessive.
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Ne poursuivez pas la situation.
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Les skatey ne prennent pas actuellement de décision, un nouveau continue la soupe.
Venez avec une critique.
La notice sur le suivi de La La met en question la différence entre le Zach de intimidation et le Zach.
N'appelez pas le repesai.
Vous ne devez pas le démolir et l'endroit où vous le connaissez sur le Wall-e Development Nouveau Keeper.
Donc, faites-moi certifier une figurine locale à Viteres Sezi.
Ne suivez pas Mercy.
Nous avons quelques questions en ligne, puis la prochaine sera posée à MFR Reuters.
Emma, tu as la question.
On ne t'entend pas, Emma.
Peut-être pouvons-nous d'abord passer à la question suivante.
La prochaine serait destinée à l'AFP.
Le Comité a exhorté le Royaume-Uni à mettre en œuvre des mesures globales pour lutter contre le discours de haine raciste et la rhétorique xénophobe, y compris de la part de personnalités politiques et publiques.
C'est juste pour me demander quelles pourraient être ces mesures.
Et avez-vous identifié des politiciens en particulier qui, selon vous, utilisaient un discours de haine raciste ?
Merci.
Merci pour cette question.
Je pense que nous venons d'en entendre la seconde moitié.
Oui
Robin, nous ne savons pas quel pays vous demandez.
Répétez-le, s'il vous plaît.
Oui, s'il te plaît.
Merci.
Tu m'entends maintenant ?
Oui, oui, oui, ça l'était.
Il s'agissait de la Grande-Bretagne et de la partie qui parlait de la commission exhortant le Royaume-Uni à mettre en œuvre des mesures complètes pour lutter contre les discours de haine raciste, y compris de la part de politiciens et de personnalités publiques.
C'était juste pour me demander quelles pouvaient être ces mesures.
Et avez-vous identifié des politiciens en particulier qui, selon vous, utilisaient un discours de haine raciste ?
Merci.
Merci.
Et permettez-moi de renvoyer cette question au rapporteur national pour le Royaume-Uni, M. Koot.
Merci.
Merci pour cette question.
Dans un premier temps, le comité évalue les informations qui lui sont mises à sa disposition par le biais de plusieurs sources et rapports.
À la suite de cela, nous soulevons une préoccupation et nous demandons à l'État partie d'y répondre comme il le juge nécessaire pour apporter une solution aux problèmes soulevés.
Il appartient donc au gouvernement britannique et aux autres juridictions du Royaume-Uni de trouver les mesures appropriées pour faire face à ces problèmes.
Donc non, nous n'avons pas de propositions spécifiques.
Ce n'est pas au comité de décider quoi faire.
Le Comité demande à l'État partie de trouver une solution appropriée à cette situation.
Sur la deuxième partie de la question.
Non, nous ne donnons pas de noms.
Nous soulevons cette inquiétude.
Les propos haineux tenus par des personnalités de premier plan suscitent de toute évidence des préoccupations et il s'agit d'un problème qui doit être traité et résolu par l'État partie.
Merci.
Merci, M. Koot.
Emma de Reuters, vous pouvez avoir la réponse à la question.
J'espère que tu m'entends.
C'était juste une suite à Robbins.
Je me demandais si vous pensez que de tels discours de haine tenus par des personnalités publiques ont joué un rôle important dans le déclenchement des émeutes estivales ou quel rôle ils ont joué selon votre évaluation.
Merci beaucoup.
Merci.
Bien.
Merci.
Eh bien, selon l'évaluation du comité, non seulement au Royaume-Uni mais partout ailleurs, il existe un lien direct entre les activités, les actions de personnalités publiques et la discrimination raciale.
Le Royaume-Uni ne fait pas exception et, comme nous voyons plusieurs exemples dans le cas du Royaume-Uni, le comité a formulé la préoccupation et les recommandations connexes.
Oui, il existe un lien direct entre ce que disent les politiques et les personnalités publiques et ce qui se passe ensuite.
Merci.
Puisque nous sommes au Royaume-Uni, je vais poser la prochaine question à Amelia Guardian.
Oui, bonjour, tu m'entends ?
Oui
Parfait
Donc, encore une fois, c'est une suite à la même question.
Je t'entends dire que tu ne peux pas donner de noms.
Je me demande si, dans les rapports qui vous ont été soumis par des organisations de défense des droits de l'homme, des incidents spécifiques impliquant des politiciens exprimant de la haine ou des discours de haine ont été évoqués.
Je me demande si vous avez pensé aux commentaires de Suella Bravaman, l'ancienne ministre de l'Intérieur, à propos d'une invasion de migrants sur la côte sud ou je suppose que vous venez de faire référence dans votre réponse précédente à des cas spécifiques qui ont suscité des inquiétudes et j'ai vraiment du mal à comprendre quels cas vous avez été alerté.
Merci.
Et renvoyez-le une fois de plus au rapporteur du pays.
Aujourd'hui, la commission compare la situation telle qu'elle était en 2016 lorsqu'elle a suivi le cas britannique pour la dernière fois et aujourd'hui.
Nous aimerions donc savoir quels types d'améliorations ont été réalisés au Royaume-Uni par rapport à nos recommandations formulées en 2016 et quelles nouvelles préoccupations sont apparues entre-temps.
En ce sens, lorsque nous examinons toutes les actualités, les rapports et toutes sortes d'informations, y compris le propre rapport de l'État partie sur le rapport périodique et ses annexes, le comité a conclu qu'un certain nombre de développements étaient susceptibles de susciter notre inquiétude.
Il n'est donc vraiment pas possible de citer des exemples spécifiques car il est également difficile de faire la distinction entre ce qui est le plus critique et ce qui est moins important, etc.
Mais il y a tellement de rapports crédibles, comme je l'ai dit, y compris le propre rapport périodique de l'État partie, que vous savez qu'il ne fait aucun doute que la question est grave au Royaume-Uni.
Merci.
Continuons sur le Royaume-Uni.
La prochaine question va au New York, NY Times.
Ouais.
Bonjour
Merci.
Donnez-vous suite à vos commentaires ?
La plupart des problèmes que vous avez identifiés dans ce rapport ne sont en fait pas nouveaux.
Nous parlons de racisme institutionnel, par exemple, au sein de la police et du système de justice pénale.
Je me demande si vous pensez que le Royaume-Uni s'est efforcé de bonne foi de mettre en œuvre les recommandations et si vous avez constaté des progrès ou des régressions sur ces questions.
Et sur un point en particulier, votre rapport fait allusion aux enfants de migrants et de demandeurs d'asile portés disparus.
Quelle est l'ampleur de ce problème ?
Disposez-vous d'un ensemble de preuves significatif sur cette échelle ?
Merci, s'il vous plaît, M. Good. Oui, merci pour cette question.
Eh bien, si vous examinez les observations finales dans leur ensemble, il y a une section sur les aspects positifs.
Dans certains domaines, les autorités de l'État partie ont donc agi de bonne foi et ont obtenu certains résultats conformément à nos recommandations figurant dans les précédentes observations finales.
Et c'est ce que vous verrez dans les observations finales, dans un certain nombre de domaines dans lesquels nous avons constaté des progrès.
Et lorsque nous constatons des progrès, nous les notons et nous les apprécions.
Mais cela ne nous empêche pas d'exprimer davantage notre inquiétude et de demander à l'État partie, en l'occurrence au Royaume-Uni, de prendre de nouvelles mesures.
Donc, si vous examinez attentivement la formulation des préoccupations et des recommandations, vous constaterez que dans certains domaines, le comité est satisfait, mais qu'il souhaite s'assurer que de nouvelles mesures positives soient suivies.
Telle est donc en général la situation dans le cas du Royaume-Uni et c'est en tout cas l'essentiel de notre rapport, dans l'esprit de nos observations finales concernant les enfants.
Nous avions des rapports, nous avons reçu des rapports incluant les contributions des institutions nationales des droits de l'homme, suffisamment d'informations sur la gravité de la situation pour en parler dans les observations finales et faire une recommandation à ce sujet.
Mais au cours du dialogue, l'État partie nous a rassurés en nous disant qu'il prenait soin de la situation.
Et cela se reflète également dans une certaine mesure dans les observations finales.
Merci.
Merci, M. Koot.
La prochaine question sera posée à Voice of America.
Lily.
Bonjour, j'espère que tu m'entends maintenant.
Oui, ma question concerne l'Iran.
Comment le Comité compte-t-il s'assurer que l'Iran donne suite aux recommandations concernant des enquêtes impartiales et des réformes juridiques, compte tenu de la stratégie du pays en matière de non-respect des obligations internationales en matière de droits de l'homme ?
Merci pour cette question.
Comme j'ai été rapporteur pour l'Iran, permettez-moi d'y répondre.
En fait, dans chacune de ses observations finales, le Comité indique également les questions spécifiques que nous demandons à l'État partie de suivre dans un délai d'un an.
Et en dehors de cela, nous listons également des paragraphes spécifiques en tant que paragraphes d'une importance particulière ou en tant que sujets d'une importance particulière.
Et la question, les questions concernant les améliorations ou les recommandations concernant les persécutions et les déficiences dans l'administration de la justice, ainsi que les conséquences des manifestations, ont été répertoriées comme nécessitant un suivi très prochainement.
Le comité a exprimé de graves préoccupations à ce sujet.
Nous avons en effet également reçu de nombreuses communications concernant les suites des manifestations.
En ce qui concerne la façon dont le comité procède et assure le suivi, nous attendrions dans un délai d'un an et nous nous attendons à ce que l'État partie nous fournisse certaines informations supplémentaires. Nous essayons également de nous tenir au courant de tout ce qui se passe.
En dehors de cela, la commission sera évidemment également vigilante et permettez-moi de dire qu'outre le processus d'examen des rapports des États, outre la conduite de dialogues périodiques avec les États, non, la commission a également d'autres aspects de son mandat qu'elle essaie de remplir et qu'une partie de celui-ci est ce que nous appelons la procédure d'alerte précoce et d'action urgente.
Je suis juste en train de le mentionner.
Le comité ne peut pas déclencher cette procédure lui-même, mais il peut répondre à certaines situations s'il reçoit une communication indiquant une situation très préoccupante, une situation nécessitant une réaction urgente car l'examen périodique constitue un dialogue régulier avec l'État partie.
Mais évidemment, nous ne pouvons mener de tels dialogues que tous les quatre, cinq ou six ans.
Quoi qu'il en soit, le comité reste très intéressé par le suivi et par ce qu'il adviendra de nos recommandations.
Merci.
Merci, Monsieur
Monsieur le Président, je pense que la discussion se poursuivra sur l'Iran.
La prochaine question vient d'Iran International.
Bhatia, tu as la question suivante.
Bonjour, j'espère que tu m'entends maintenant.
Bonjour
Ceci fait suite à la question de Lily.
La question de mes collègues est la suivante : dans quelle mesure espérez-vous que les États iraniens fassent preuve de la bonne volonté que vous leur avez demandée dans un an pour vous répondre ?
Parce que votre comité recommande à l'État iranien de mener une enquête efficace et impartiale sur les violations des droits humains commises dans le cadre de toutes ces récentes manifestations.
J'ai bon espoir que vous, oh cet État iranien, ayez fait preuve de bonne volonté et que les enquêtes qui vous sont recommandées puissent être impartiales, car vous savez qu'aucun organisme indépendant n'a autorisé la conduite d'une telle enquête et que sa collaboration avec le mécanisme des droits de l'homme des Nations unies a été très minime.
Avez-vous bon espoir qu'ils collaborent et vous recontacteront dans un an, comme vous l'avez suggéré ?
C'était la question.
Merci.
Eh bien, nous pensons que les États parties prennent au sérieux leurs obligations en vertu du droit international.
Nous souhaitons vivement qu'ils le fassent.
Et c'est évidemment un certain point de départ maintenant, parfois en effet, il n'est pas facile de s'y attendre, il n'est pas facile d'avoir de l'espoir, pour ainsi dire.
Néanmoins, du côté positif, la délégation a semblé s'entretenir avec le comité, qui a répondu à certains problèmes et préoccupations, de nombreuses questions ont été posées et des recommandations très spécifiques ont été soumises.
Maintenant, je ne peux pas prévoir l'évolution de la situation.
Je ne peux que vous assurer de l'intérêt constant de notre comité et je peux vous assurer que nous ne nous contenterons pas de clore le dossier pour y revenir dans cinq ou sept ans.
Je ne sais pas comment et quand la délégation et l'État partie répondront, mais j'espère sincèrement que s'ils prennent au sérieux leurs obligations internationales, ils devraient le faire.
Permettez-moi également de noter au passage que, comme vous le savez, notre commission n'est pas la seule instance du système des Nations unies à s'intéresser de près à la situation des droits de l'homme en Iran.
Vous savez également que certaines conclusions ont été faites, par exemple, par la Commission indépendante d'établissement des faits et que des rapports publics sont disponibles.
Je le mentionne simplement pour dire que la troisième commission n'agit pas de manière isolée, que nous faisons partie de l'écosystème et que nous pensons que cet écosystème, associé à tous les acteurs concernés, y compris la société civile, a une chance de provoquer des changements.
Merci.
Merci.
M.
Monsieur le Président, j'ai quelques questions écrites, la première concernant le Belarus.
Pourquoi le comité n'a-t-il pas commenté la discrimination raciale à l'encontre des personnes ethniques biélorusses de la part du Comité olympique ?
Donc, en question, le style de Consternos Belarus, Vuvier, Vivian Vuvier a une question positive sur le cinéma Francis ou Popur Madame.
Bonjour LA, question à Seizure Compre.
Cosmon Solar.
Jeux olympiques solaires biélorusses.
A inséré et commenté ou commenté les ethnies biélorusses victimes de discrimination par le Comité olympique.
Dakar.
Merci por la lacacion nu compre nombie lentera de la press parapor ojes Olympique que vie de volle a Paris menu navompa down lucarde de dialogue A veglitar party abor de locacion duna alegacion.
Le problème de discrimination actuel est de laisser le bandang biélorusse Olympique Apari Dong Pompa Leisures avoir, vous savez, response parapor acela mercy.
Merci.
Ensuite, j'ai une autre question sur le Pakistan.
C'est à peu près la question de savoir si cela semble refléter l'évolution de la situation au Pakistan.
D'une part, le comité a fait l'éloge du fait que la Commission nationale des droits de l'homme ait obtenu un A gris et, de l'autre, du fait que les simulacres de lynchage et les autres violences contre les minorités ethniques sont en hausse.
Comment se présentent donc ces évolutions contradictoires ?
Merci.
Et permettez-moi de renvoyer cette question au rapporteur pour le Pakistan, M.
Jeune Yuan.
Merci pour votre question.
En ce qui concerne la Commission nationale des droits de l'homme du Pakistan, c'est une institution assez récente qui a obtenu le statut, qui a obtenu le statut A assez récemment.
Toutes choses étant égales par ailleurs, je pense que la Commission nationale des droits de l'homme fait un excellent travail.
En fait, nous avons demandé que cette Commission soit dotée de facilités supplémentaires en matière de financement également, car elle dispose d'un large éventail de sujets à traiter.
En fait, disons une chose qui ressort de nos relations avec la Commission nationale des droits de l'homme, d'après ce que nous avons entendu de sa part, c'est l'ouverture et la disponibilité dont elle a fait preuve.
Ils ont présenté cette commission, ils ont évoqué des problèmes brûlants dans leurs pays.
C'est donc un fait qu'il y a tellement de problèmes en suspens qui persistent au Pakistan.
Mais je pense que c'est tout à l'honneur de la Commission nationale des droits de l'homme qu'ils sont pleinement conscients de ces problèmes et qu'ils y accordent, je pense, l'attention suffisante avec leurs moyens.
Et ils ont d'ailleurs joué un rôle de premier plan, avant nous, dans la résolution d'un si grand nombre de ces sujets d'actualité.
Merci.
Merci.
M. Yun.
Je ne vois plus aucune main en ligne.
Donc, M.
Monsieur le Président, souhaitez-vous terminer la conférence de presse ?
Oui, merci beaucoup.
Oui, eh bien, permettez-moi de vous remercier pour toutes vos questions et nous sommes évidemment prêts à répondre à d'autres d'entre elles dans les jours ou les semaines à venir.
Permettez-moi de remercier mes collègues qui se sont joints à moi et qui nous ont permis de répondre à des questions spécifiques aujourd'hui.
Permettez-moi également de rappeler que la prochaine section, la prochaine session du comité est prévue du 25 novembre au 13 décembre et que le comité examinera les rapports et mènera des dialogues avec l'Arménie, l'Équateur, la Grèce, le Kenya, Monaco et l'Arabie saoudite.
Il nous reste donc une session et il est fort probable que nous vous inviterons également à une conférence de presse à la fin de la session, probablement le 13 décembre.
Je vous remercie donc encore une fois et je vous souhaite une bonne journée.